Je ne vous ai pas encore parlé de Pierre-Yves Larvor

L’homme a eu avec son associée Elodie Hughes TimeFunding, une idée brillante : TimeFunding.

Ils n’ont pas rapporté TimeFunding d’un voyage de l’autre côté de l’Atlantique, mais ils l’ont imaginé tous les deux ici en France en observant la vie d’une start up : une jeune entreprise qui démarre a besoin de solides compétences pour se développer mais elle ne peut pas les payer là, maintenant, tout de suite parce qu’elle « start » dans sa vie.

Ils remarquent aussi que beaucoup de gens sont prêts à donner leur temps et leur talent à ces start up. Et que c’est cadeau, ça fait plaisir.

Oui mais non.

La start-up a des budgets serrés, ok, et a besoin de talents, ok. Mais tout travail mérite salaire. Il faut rémunérer ceux qui donnent du temps de talent disponible.

TimeFunding voit donc les choses autrement : la start-up aura un peu de temps pour payer celui ou celle qui lui donne son temps. Tout ça est écrit et signé par les deux parties dans un contrat et dans un échéancier clair et net. Le Time Funder sait donc lui aussi dès le départ ce qui l’attend.

Avant d’entrer chez TimeFunding les start-up et les Time Funder. doivent montrer patte blanche. Ensuite les équipes se chargent de faire le go-between. Bientôt un algorithme prendra la relève pour faire le job encore plus précisément.

TimeFunding est une idée avec plein d’état d’esprit Shine dedans, une idée juste, qui plait beaucoup à l’international… forcément. Nous aussi en France, on n’a pas fini d’entendre parler de cette riche idée. Et de toutes les autres que les deux associés ont déjà pour la suite.

Toutes les infos sur le site http://www.timefunding.fr/

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