Je ne vous ai pas encore parlé de Cécile Lochard

Elle me fait penser à Rebelle les mêmes cheveux, les mêmes yeux bleus et la même énergie. Elle est plutôt du genre « soft power » et pour elle « l’engagement ce n’est pas seulement de faire claquer ses baskets sur le pavé ».

Cécile est tombée il y a longtemps dans la marmite du développement durable. Au tout début, quand le dossier n’était pas sur le dessus de la pile d’aucun bureau. Après avoir juré à son père qui avait créé les premiers fonds éthiques que « over my dead body », jamais elle ne travaillerait dans ce secteur, elle n’enlèverait aujourd’hui pour rien au monde sa cape de green activist. Après quelques années à rouler sa bosse verte dans l’entreprise familiale, elle travaille longtemps au WWF avec pour mission de « sensibiliser le secteur privé à ses impacts ». Ses deux garçons sous le bras, elle devient ensuite le porte-parole du WWF auprès de l’industrie du luxe sur les questions environnementales, publie un livre « le luxe et développement durable, la nouvelle alliance », puis vole de ses propres ailes en créant sa société de conseil Citizen Luxury qui accompagnent quelques grandes maisons, dont Cha Ling, des cosmétiques nés d’un rêve écologique.  Elle accompagne aussi des filières d’exception portée par des ONG.

Never say never lui dirait James Bond, cette fille est une tornade verte, une battante, une fille engagée pleine de contradictions, comme nous toutes qui dit non à la fourrure, la viande, les voitures et qui arrêtera bientôt le lait aussi.

Elle vit, elle partage, elle donne, elle connecte les gens les uns avec les autres, elle brille dedans, elle rayonne dehors. Shine girl.

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